Quand nos actions ne sont pas engagées pour favoriser notre évolution, notre bien-être et des prises de conscience indispensables à ces transformations, la seule issue sera une diminution de la douleur.
Une cheville foulée > des béquilles en support pendant quelques jours mais pas de kiné
Une rage de dents > Un doliprane mais je ne vais pas de dentiste
Une peur > une stratégie d'évitement mais pas de psychologue
etc.
Un point commun ? L'EFFORT
Effectivement, il est plus aisé, beaucoup moins épuisant de taire une douleur plutôt que de travailler à ressentir autre chose.
Nous sommes pourtant à l'époque du développement personnel.
La question à se poser serait de savoir s'il s'agit vraiment d'une quête personnelle ou d'un simple effet de mode.
Et surtout pourquoi l'être humain s'obstine-t-il à se satisfaire
d'un à peu près ?
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